« Etre médecin représente un travail énorme. Je me demandais comment ne pas perdre mon énergie. Pratiquant le Tai Chi depuis 15 ans, je peux à présent utiliser ce que j’ai appris dès que je me sens épuisée au travail. Chez Marie-Christine, j’aime sa régularité qui représente pour moi un ancrage. Mais aussi ses qualités personnelles, le calme, le respect d’autrui, sa capacité de se mettre en retrait dans l’écoute de chacun de nous. Et jamais, je ne me suis sentie jugée. » « J’étais très diminuée, je voulais me retrouver, retrouver l’énergie. Je pratique depuis six ans avec Marie-Christine. J’aime sa grande douceur, son grand respect pour tous, et sa profonde compétence dans tout ce qu’elle fait. Je peux à présent aussi utiliser ce que j’ai appris dans mes activités personnelles, dont la direction de chœur où la respiration et l’ancrage sont essentiels. » « Mon travail d’artiste était détaché de mon corps. Je me disais que la tête ne pouvait pas à elle seule produire des formes, des couleurs et des mots à longueur d’années, sans qu’à la longue, mon corps ne s’épuise, mais aussi l’œuvre que je réalisais. Je me suis aventurée sur la pointe des pieds dans une salle où Marie-Christine donnait cours. Effrayée, je me disais : ça, je n’y arriverai pas! C’était il y a sept ans. J’avance. J’ai tout le temps… » « Victime d’un accident de voiture, j’ai dû apprendre à marcher avec des prothèses. Mon corps s’ancrait surtout sur la jambe droite, je devais lutter contre ce déséquilibre et la douleur. Ayant pratiqué de manière assidue avec Marie-Christine depuis 6 ans, j’ai vu se transformer mon état. Ce que j’aime chez cette enseignante, c’est qu’elle me permet de prendre conscience de moi. Elle connaît mes problèmes et mes limites, mais elle reste à l’écoute, et je progresse. » « Après avoir travaillé comme infirmière, j’ai largement pu observer l’importance d’un corps et d’un esprit sains. Je pratique depuis 7 ans avec Marie-Christine. Elle enseigne avec beaucoup de douceur tout en insufflant de l’énergie. On parvient avec le temps à relativiser, à ne pas accorder d’importance à des choses inutiles. Cela peut aussi aider le personnel soignant dans la gestion des conflits et du stress. » « Je souffre d’un problème d’anévrisme. Je supportais mal le stress, le bruit, l‘agitation. Lorsque j’ai découvert l’Art du Chi, j’ai appris à me tenir mieux, à bouger mieux, à vivre mieux, à prendre du recul par rapport à l’environnement. Je le pratique assidûment, stages, formation, cours. J’en ai fait une part de ma vie. Je veux être dedans tout le temps. » |
Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons. CONFUCIUS |